Retour d’expérience : “J’étais super fière, je me suis félicitée.”
Aujourd’hui en autonomie dans sa gestion budgétaire - toujours sur le logiciel Plénit' - Armelle a réussi à épargner pour accéder à l’achat immobilier, et continue à gérer son argent avec sérénité. Elle nous partage son expérience de coaching budgétaire avec Plénit’Finances.
Qu’en était-il de votre situation financière avant de débuter le coaching budgétaire ?
Des années de compte bancaire à découvert. Quand je vous dis “des années”, c’est vraiment de très nombreuses années, avec aucune éducation financière, aucune méthode. Tant que j’avais de l’argent, je dépensais. Je n’avais pas, ou très peu, d’économies, donc je ne me projetais pas dans l’avenir. Là où j’ai quand même été un peu contrainte de me reprendre en main, c’est quand j’ai voulu acheter. J’ai donc commencé à me constituer une épargne pour envisager un achat, et quand on sait que les banques demandent des comptes bancaires nickel, du moins pas dans le rouge sur des périodes assez longues, il n’y a pas 36 solutions. Il fallait que je redresse tout ça. J’ai commencé à faire des recherches sur des coachs financiers. Je vois Plénit’Finances, je vais sur leur site regarder un peu ce qu’il en est. J’ai trouvé sur le site qu’il y a une bienveillance dans ce qui est expliqué. Ils insistent sur le fait qu’il n’y a pas de jugement, que c’est vraiment une relation de confiance, et j’ai sauté le pas.
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Est-ce que votre situation professionnelle pouvait justifier votre situation financière ou c’était uniquement la façon de gérer votre argent ?
C’était plutôt la manière de ne pas gérer mon argent. Je n’ai pas un salaire extraordinaire, mais il n’y avait pas de raison que des personnes que je connais y arrivent avec moins de revenus que moi. Pourquoi je n’y arrivais pas ? Quel était le problème ? Il fallait vraiment remettre tout ça à plat. J’avais quand même réussi à faire des économies, parce que je m’étais dit “je fais de l’épargne”. Ça a servi à combler d’entrée de jeu le découvert et on est reparti sur des bases saines.
Le coaching avec Aline, comment s’est-il passé pour vous ?
J’ai pleuré, voilà ! Il fallait que ça sorte, mais je me suis astreinte à la rigueur tout de suite. Il fallait en passer par là, donc je me suis astreinte à faire ce budget. De toute façon, on n’a pas le choix, puisqu’il y a un contrôle derrière, donc il faut absolument s’y tenir. C’est une rééducation, que j’ai eu un peu tard, mais qui a été rapide. Je n’ai eu aucun problème à suivre le budget, et j’arrivais même, dès le départ, à ne pas atteindre les budgets qui étaient fixés, donc je ne me suis pas reconnue honnêtement. C’est tellement facile en fait.
Qu’est-ce que vous avez ressenti d’être dans cette réussite ?
J’étais super fière de moi évidemment. Je me suis félicitée, dans mon coin, parce que je n’en parlais à personne, ou très peu, que j’ai suivi un coaching : pour moi, ça restait honteux. C’était de l’autosatisfaction de me rendre compte que ce n’est pas compliqué, qu’il suffit d’un peu de méthode pour voir que ça marche tout de suite.
Est-ce qu'aujourd'hui vous sentez une répercussion dans tous les domaines de votre vie d'avoir retrouvé cette sérénité financière ?
Oui, oui, c’est évident. Quand on est bien financièrement, ça se ressent sur tout le quotidien, sur les relations, avec les amis, les gens. Avant, il y avait toujours ce mal-être, ce nuage noir au-dessus de ma tête qui ne partait pas, et depuis ça va nettement mieux. Les relations se sont nettement améliorées.
Auriez-vous des mots à dire à une personne qui hésite à franchir le pas avec Plénit’Finances ?
Quand l’idée commence à germer qu’il faut une aide, un accompagnement, il ne faut pas hésiter à les contacter, même si au final ça n’aboutit pas. Au début, c’est assez conséquent d’être coaché, ce n'est pas évident de payer, d’autant plus dans une situation financière qui n’est déjà pas simple. Il peut y avoir un questionnement à un moment, mais il ne faut pas hésiter. Il faut vraiment y aller, ils sont bienveillants, il n’y a pas de jugement, il n’y a pas de morale comme les parents le feraient à des enfants. Cela se passe vraiment très bien. Quand la motivation est là, on s’aperçoit que ce n’est finalement pas si compliqué que ça. Le temps est très court pour redresser la situation. Il n’y a pas de honte à être dans une situation financière négative, ça arrive. Malheureusement, je pense que ça arrive plus souvent qu’on ne le pense, et ce n’est pas une question de revenus. Le plus important, c’est de se sentir bien dans sa tête et dans ses comptes, pour voir les choses d’un côté positif. Ça enlève tellement un poids.
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